Avis défavorable. Le projet de loi ne sous-estime pas les problèmes spécifiques à l'outre-mer. L'ensemble du texte lui est applicable. L'article 24 vise les dispositions particulières que nécessitent certaines difficultés propres à l'agriculture ultramarine. Mais, bien souvent, et j'en ai discuté récemment avec de jeunes agriculteurs des territoires concernés, les réponses les plus urgentes à ces difficultés, telles que la question du chlordécone ou les incidences du MERCOSUR pour la Guyane, ne relèvent pas de la loi. Quoi qu'il en soit, les mesures indispensables seront prises.