Quand nous avons rencontré M. Marleix et son équipe, nous avons eu l'impression que la loi de 2007 était laissée de côté. Il est quand même extraordinaire de proposer aux femmes des postes de conseillère municipale dans une municipalité de 500 habitants, où il faut être tout le temps sur le pont, et cela de façon bénévole, et de leur enlever la possibilité d'exercer des responsabilités au conseil régional, dont le rôle est important, pour une rémunération d'au moins 2 000 euros.