Soit. Le recul n'est que d'un an, mais c'est tout de même un recul par rapport au Grenelle 1, reconnaissez-le. Vous avez refusé notre amendement visant à financer d'ici là les infrastructures terrestres par une contribution exceptionnelle des compagnies pétrolières.
Troisième point : la précarité énergétique. Elle est pratiquement passée sous silence.