Non, ce ne sont pas des nuances.
La majorité a établi une position cohérente, d'abord dans la commission que je préside, puis dans celle du président Jacob, et cette cohérence est sans exception. Je comprends que l'un ou l'autre ait une bonne intention, et qu'on puisse se laisser entraîner, je l'admets. Mais j'en appelle à la raison de nos collègues. (Murmures sur divers bancs). Nous avons travaillé longtemps sur ce point en commission. Je regrette, mais certains n'étaient pas présents. Il n'ont pas pu participer à ces travaux, je le comprends aussi. Mais qu'ils nous fassent confiance. Qu'ils comprennent qu'on ne peut laisser remettre en cause ce travail par une majorité qui, sur une bonne intention, se crée de façon aléatoire.
Nous serons peut-être battus sur ces amendements par une majorité de circonstance. Mais je souhaite qu'on entende ce qu'a dit le président Jacob sur le pouvoir des maires, contre lequel les orateurs de l'opposition se sont élevés hier à propos du PLU… (Protestations sur les bancs du groupe SRC.)