En effet, d'autres pays – la Grande-Bretagne, l'Italie, le Danemark, les Pays-Bas – ont fait des paris l'une des sources de financement non seulement du patrimoine, mais aussi de la culture. Un tel prélèvement destiné à contribuer au développement de l'activité culturelle en France – un objectif que nous partageons tous – nous paraît particulièrement pertinent, à l'heure où l'État peine à trouver des recettes.