J'en termine, monsieur le président.
« La plupart d'entre eux sont des “surfeurs” réguliers. Ils connaissent la “toile”, font partie d'au moins un de ces réseaux sur lesquels les “rencontres” virtuelles et les “tchatches” pullulent, ont été agressés par des images à caractère pornographiques, pratiquent le téléchargement de musiques et de vidéos et quelques-uns les “jeux en ligne”. »