Il faut bien voir que les mesures de régulation envisagées risquent de renforcer l'agressivité des clients à l'égard de nos salariés. Par ailleurs, les projets des entreprises ou des particuliers, dans l'incertitude, sont remis à des jours meilleurs, ce qui aggrave la crise. Nous devons rétablir la confiance, grâce au dialogue. La table ronde de ce matin y participe. Les critiques à l'égard des banques doivent concerner les défauts graves du système et ne pas cibler nos 400 000 salariés sur le terrain.