L'activité d'Oséo a connu un pic en juillet. L'accalmie est revenue depuis, avec des tensions de trésorerie bien moindres en janvier et février. Parallèlement, nous observons une prise de risque croissante des banques. Grâce aux moyens considérables consacrés au soutien à l'économie, nous prenions en charge 90 % des risques. La part des banques est progressivement passée de 10 % à 30 %.
Nous pourrons poursuivre notre activité en 2010, avec moins de moyens cependant. L'amélioration que nous appelons de nos voeux dépendra toutefois des niveaux d'activité et des sorties de bilan, qui risquent de provoquer quelques tensions.