Je vous approuve, monsieur le président. Le jeu est clair : il n'y a plus la volonté de débattre sereinement. Il faut le dire pour les jeunes qui sont venus ici voir la maison de la démocratie. Je profite de l'occasion pour les saluer amicalement. Ils auront pu constater en quoi consistait l'obstruction. Nous allons y passer du temps. Je le regrette, mais je ne m'y arrête pas. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)