Monsieur le président, nous sommes confrontés à une situation qu'il est, pour les gens de gauche ici présents, difficile de gérer, et ils ont donc besoin de toute leur force de conviction pour s'acharner comme ils le font. Car c'est un peu comme dans Aïda, où vous trouvez beaucoup de figurants, beaucoup de porteurs de hallebarde qui jouent leur rôle avec constance mais aussi avec la profonde frustration de ne jamais pouvoir s'exprimer. Nos collègues de l'UMP sont dans cette triste situation.