Même avis.
Monsieur le rapporteur, je ne vois aucun inconvénient au principe d'une lettre ministérielle au CSA sur la question précise du lien entre publicité et addiction. Naturellement, on peut déjà faire l'hypothèse que le développement de la publicité aggrave la dépendance. C'est bien le but de la publicité ; voilà du reste pourquoi il faut l'encadrer.