On a constaté que ceux qui y jouaient y engloutissaient leur sandwich du déjeuner, voire leur paie de la journée, jusqu'à se surendetter. La Française des Jeux a donc ralenti le rythme afin d'éviter ces débordements.
L'amendement n° 65 tend à préciser que c'est d'abord l'impact de la publicité sur l'addiction qui doit être évalué, et non l'impact de la publicité sur l'image que se font les jeunes – et même les moins jeunes – des jeux en ligne. Nous devons être extrêmement prudents et vigilants sur ce point.
Nous proposons donc d'insérer, après le mot « évalue », les mots « , en premier lieu en matière d'addiction, », au nom du principe de précaution auquel nos concitoyens sont de plus en plus attachés.
Nous en appelons à la réflexion de nos collègues de la majorité, que nous remercions d'être venus nombreux ce soir, et dont nous espérons qu'ils vont prendre part encore plus activement au débat.