Oh, mais il y a des souterrains. Comme il y en a d'ailleurs à Pékin, en cas de guerre atomique.
Je pense que Xavier Bertrand n'a pas tout dit à Jacques Myard. Ce qui est extraordinaire, c'est que les membres de l'UMP ont acquis le droit d'aller en pèlerinage place Tian'anmen, et de faire retraite dans un temple à Lhassa.
Ce n'est donc pas nous qu'il faut mettre en cause. C'est la direction de l'UMP.
Monsieur le président, après cette remarque qui valait mise au point historique – parce que l'exactitude, c'est très important –, j'en viens à mon amendement. Et comme j'ai pris un peu sur mon temps de parole, je vais en défendre deux d'un coup, le n° 8 et le n° 7..
Ces amendements portent des propositions de restriction de la publicité en faveur des opérateurs de jeux et de paris.
Comme un grand nombre de nos collègues – pas seulement sur les bancs de l'opposition –, et à la suite de nombre d'associations, nous nous inquiétons de « l'addiction marketing » aux jeux en ligne que favorisera le développement de la publicité en faveur des sites de jeux ou de paris.
Les opérateurs dépensent déjà près de 50 % de leur chiffre d'affaires en communication publicitaire. Il y a fort à parier qu'ils se livreront une guerre marketing pour conquérir des parts de marché dès que ce texte sera promulgué.
Pour des raisons évidentes d'ordre et de santé publics, nous sommes par principe opposés à l'autorisation de la publicité en faveur d'un opérateur de jeux ou de paris agréé.