Monsieur Néri, si vous m'écoutiez ! Vous qui fûtes vice-président et qui connaissez parfaitement le règlement savez très bien que, normalement, la parole est donnée pour répondre au rapporteur et au ministre, ce qui a été fait, puisque vous avez vous-même répondu au rapporteur et M. Roy au ministre. Cela étant, comme il reste un peu de temps avant le début du scrutin, je vous donne la parole par courtoisie et, oserai-je dire, par gentillesse. Alors, prenez-la sans faire d'incident !