J'avais émis des réserves sur plusieurs points.
D'abord, la question des paris à cote fixe, puisque nous avions le débat entre le pari mutuel et le pari à cote fixe. Cela peut engendrer, dans certains cas, un conflit d'intérêts entre l'opérateur et celui qui distribue le produit.
Ensuite, la question des paris en direct n'a pas été, à mon sens, traitée de manière tout à fait satisfaisante.
Enfin, des réponses ont été apportées par le Comité consultatif et par l'ARJEL.
Le sujet des redevances perçues par les collectivités où sont situés les hippodromes ou les casinos reste d'autre part important.