…et ce n'est pas parce que des personnalités du monde des affaires souhaitent réaliser des affaires encore meilleures que nous devons légaliser leur activité.
Voilà donc évacuée la question de savoir s'il existe ou pas un droit en la matière : il y en a un et il faut l'appliquer. J'aborderai un autre point. M. Myard nous dit, de même que vous, monsieur le ministre – c'est toujours l'argument que l'on emploie pour essayer de justifier une politique que l'on a du mal à argumenter étape par étape –, que c'est la seule solution. Nous n'avons pas le choix, il faut faire comme cela et grâce à ces dispositions on va canaliser l'offre illégale.