Ainsi la Norvège ou l'Allemagne.
D'autres enfin – les États-Unis ou le Japon – hésitent, mais n'ont pas franchi le pas.
Les rapporteurs auraient pu faire l'analyse à laquelle je viens de me livrer, au lieu de brandir des coupures de presse : vous aviez tout loisir de vous exprimer dans votre rapport, monsieur le rapporteur pour avis. Nous y aurions ainsi vu plus clair.