Je n'avais pas terminé, mais je conclus, monsieur le président.
Ma conviction est qu'il était possible d'améliorer l'EURL ou de réfléchir à une meilleure manière d'étendre l'insaisissabilité prévue dans la loi de 2003, notamment en l'étendant aux biens autres qu'immobiliers. Je reste surtout convaincue de la nécessité de mieux informer, mieux former, suivre et accompagner celles et ceux qui créent leur entreprise, bref, de remédier à des carences et des failles qui font que près de 35 % des entreprises disparaissent dans les cinq premières années.