a observé que la dénomination du CEA, centrée sur les aspects énergétiques, restait trop réductrice par rapport à la palette de ses activités de recherche, lui-même ayant découvert, à l'occasion d'un rapport, les ressources du CEA dans le domaine des sciences du vivant. Il s'est ensuite interrogé sur la possibilité de fédérer les ressources de la recherche française dans le domaine des nanotechnologies.