Et en cas de refus, monsieur le ministre, que se passera-t-il ? Vous avez vous-même expliqué en commission que le body scanner n'était pas le seul outil disponible. Vous vous interrogiez sur l'efficacité de l'appareil rapportée au coût qu'il représente. Si l'expérimentation ne peut avoir lieu qu'avec le consentement du passager, on ne voit pas à quoi servira d'investir autant d'argent dans une détection à laquelle pourra échapper toute personne qui le souhaitera.