On ne peut que souscrire au principe d'une sensibilisation régulière des Français, en particulier des plus fragiles, aux risques générés par l'utilisation de certains supports de communication en ligne, mais force est de constater que la disposition proposée relève plus de la déclaration d'intention que du domaine législatif.
Je souhaite donc le retrait de l'amendement. À défaut, j'émettrais un avis défavorable, ainsi que sur le sous-amendement.