Un rapport détaillé, circonscription par circonscription, brigade par brigade, ne présenterait que peu d'intérêt, tant les situations sont mouvantes et évolutives. Par ailleurs, je ne peux vous suivre dans une logique consistant à raisonner exclusivement en termes d'effectifs. Nous travaillons aujourd'hui à l'échelle des bassins de délinquance, des bassins de vie qui constituent le champ territorial de la police et de la gendarmerie.
Avis défavorable donc.