Monsieur le ministre, je suis respectueuse de l'indépendance syndicale. Je ne pense pas que le rôle des responsables politiques soit de commenter les résultats d'élections professionnelles. Je constate simplement que toutes les organisations syndicales – je ne les citerai pas –, celles des gardiens de la paix en particulier, réclament le gel de la révision des politiques publiques pour ce qui concerne les forces de sécurité intérieure.