Sachant que l'adoption de cet amendement coûterait 50 milliards, que cela affaiblirait considérablement le pouvoir d'achat des ménages et qu'il ne serait pas possible d'augmenter la CSPE en proportion, le Gouvernement n'aurait plus d'autre solution que de supprimer les tarifs spécifiques de rachat de l'énergie photovoltaïque.