Dans tous mes déplacements, je défends le Grenelle. Mais il m'est arrivé récemment de me faire siffler, preuve qu'au cours de cette année catastrophique, le contexte a changé. Le revenu des pommiculteurs, pour ne citer qu'eux, a baissé de 50 %.
L'amendement est simple : il vise, tout en tenant compte de l'avis de l'AFSSA, à mettre nos agriculteurs à égalité avec leurs partenaires. Quel risque cela pose-t-il au niveau sanitaire ? Le travail de nos collègues du groupe fruits et légumes inspire toute confiance. Le problème avait d'ailleurs été évoqué lors du Grenelle 1.
Enfin, dans ma circonscription, les agriculteurs ne m'ont pas parlé de deux molécules. La liste qu'ils m'ont présentée est beaucoup plus longue.