Monsieur le président, avant de commencer, je fais seulement remarquer qu'il ne s'agit pas d'une faveur : cela se fait même assez régulièrement… Il est normal que nous puissions répondre et à la commission et au Gouvernement. M. Ollier lui-même est d'accord avec nous. Et si l'on avait pas créé cet incident, j'aurais déjà fini de parler.