Premièrement, nous disposons, concernant les casseurs dans les manifestations, de tout l'arsenal juridique nécessaire, et depuis longtemps. En aucun cas il n'existe de vide juridique qui justifierait la défaillance de nos dispositifs de maintien de l'ordre, que ce soit à Strasbourg ou à Poitiers. Oui, il y a eu des défaillances, mais elles ne sont pas liées à des problèmes juridiques.
Deuxièmement, je maintiens que pas un policier de terrain n'est favorable à cet article premier de la proposition de loi.