Monsieur Charasse, ce n'est pas parce que quelques-uns ne font pas ce qu'il faudrait que tous sont fautifs. Je fais confiance aux élus ; ce sont eux qui peuvent agir sur les PLH.
Je rappelle que la loi Malraux accorde un avantage plafonné et limité dans le temps. Je ne suis donc pas du tout embarrassée pour vous répondre. Ma confiance dans les élus va même jusqu'à me faire considérer qu'il est possible d'aller encore plus loin en ce qui concerne l'aide à la pierre ; je suis prête à ce que l'État cède sa compétence aux élus qui le souhaiteraient, à condition que ce soit pour l'ensemble du problème du logement. Je fais confiance aux élus.