Cette transformation était devenue nécessaire pour garantir l'unité du groupe, notamment pour engager les investissements importants que la commission Ailleret avait estimé à 2,7 milliards d'euros.
La Poste pourra ainsi poursuivre sa modernisation et son développement, notamment à l'étranger, si elle le souhaite, résister à la concurrence redoutable de ses homologues allemands, hollandais ou anglais…