Monsieur le ministre, vous pouviez sortir par le haut de cette question ; vous pouviez répondre favorablement aux attentes de milliers d'hommes et de femmes qui se sentent aujourd'hui méprisés par leur employeur, par l'État, par le gouvernement de leur pays, par la majorité de notre assemblée. Pour des raisons financières, budgétaires, vous refusez de rendre justice à ces personnes, alors que de l'argent, manifestement il y en a, mais pas pour tout le monde !