Je partage votre point de vue. Dans notre rapport de 2003, nous étions partis de l'idée que si l'on ne gère pas le problème de l'égalité dans l'éducation, on ne le gérera pas, plus tard, dans l'entreprise ; et que si on ne le gère pas au bas de l'échelle dans l'entreprise, on ne le gérera pas en haut de l'échelle.