Il est toujours dommage de subir une censure de Bruxelles. Nous sommes allés y débattre des sujets les plus importants de ce projet, tels que les missions de service public, les mesures d'aménagement du territoire, les 17 000 points d'accueil prévus par le texte, les 2,7 milliards d'euros d'argent public qui auraient pu faire l'objet d'observations, et pour lesquels il a fallu que je prenne un certain nombre de précautions.
Dès lors que la Commission européenne m'a fait savoir son désaccord sur ce point, d'une importance limitée, et alors que nous avons des sujets bien plus importants à défendre, je ne voudrais pas prendre le risque de la moindre censure.