Non, je parle de ceux qui ont promis que GDF ne serait jamais privatisé, pas plus que France Télécom. Quelqu'un qui, aujourd'hui, loge à l'Élysée, nous avait dit dans cet hémicycle que, de son vivant, jamais GDF ne serait privatisé ! Aussi comprendrez-vous, monsieur le ministre, que nous ayons quelques doutes… L'avenir nous montrera peut-être que nous avons tort, mais nous sommes un peu inquiets.
Le gouvernement que vous soutenez est véritablement coutumier du double langage. Je pourrais multiplier les exemples et vous entraîner jusqu'au bout de la nuit…