Voilà en tout cas ce qui justifie aujourd'hui que nous injections 2,7 milliards d'euros d'argent public par le biais de cette procédure de modification statutaire que nous avons choisie.
Comme je l'ai dit à près de 300 cadres de La Poste, je répète très clairement que nous ne donnons pas un chèque en blanc à La Poste. J'ai d'ailleurs fixé trois règles.
La première exigence, c'est le respect des Français, des usagers. Vous ne pouvez pas intervenir, comme la plupart d'entre vous l'ont fait, en disant que tout allait mal à La Poste, et nous dire en même temps qu'il ne faut rien changer !