Une crise sociale frappe chaque jour davantage nos concitoyens. Pourtant, sur la base d'arguments purement idéologiques –nous l'avons démontré tout au long de cette discussion générale –, vous choisissez de faire adopter en urgence ce texte de privatisation annoncée du premier grand service public de proximité.
Je me doute bien qu'au terme de ce débat nos arguments auront peut-être permis de dégager une majorité – si j'entends ce que certains parlementaires UMP disent en coulisse – pour repousser votre projet de loi.