Monsieur le ministre, je m'adresse à vous pour que nous puissions continuer nos travaux dans la sérénité. Sur quelles bases pouvons-nous vous accorder plus de crédit qu'à vos prédécesseurs ? Ils ont déjà martelé ces affirmations, comme l'a rappelé M. Dolez, et ils nous ont menti.
Pouvons-nous vous faire confiance ? Je ne le pense pas. Mais je ne demande qu'à vous croire. Sur quel nouvel argument, sur quel fait nouveau pourrions-nous vous croire ?