C'est vrai : La Poste a besoin, non d'un statu quo, mais d'une modernisation qui lui permette de développer de nouvelles activités dans le cadre, non pas d'un service universel destiné à se rabougrir, mais d'un service public.
Elle n'a pas besoin – au contraire ! – d'une étape supplémentaire dans la voie d'une libéralisation qui, dans le contexte de la crise actuelle, risque d'affaiblir dangereusement l'opérateur public.