Or, à force de baisser les recettes, arrive un moment où il ne reste plus rien pour financer les services publics. Lorsque nous vous avions, en juillet 2007, demandé quelles étaient les dépenses que vous alliez réduire et quels postes de fonctionnaire allaient être supprimés – dans la police, l'hôpital ou l'éducation nationale ? –, vous nous juriez, vos grands dieux, qu'il n'en était pas question.