Merci, monsieur le président, d'avoir rétabli l'ordre dans cet hémicycle.
Avant d'aborder le fond du sujet, je voudrais rappeler, en tant que député des Côtes-d'Amor, la mémoire d'un de mes illustres prédécesseurs, M. Glay-Bisoin, qui passa plus de temps que nous n'en passerons sur le statut de la Poste pour obtenir de cette assemblée, en 1848, qu'on en vienne au prix unique du timbre.