Ce que propose le texte est une étape par rapport à ce que nous proposons. Vous avez du reste répondu avec franchise, madame la ministre : si les organismes n'ont pas la possibilité de prêter à des taux très élevés, de nombreuses personnes seront écartées du crédit. Alors que nous préconisons l'instauration d'un prêt social encadré pour les personnes en grande difficulté, nous ne saurions accepter qu'elles soient soumises au taux maximal pour avoir accès au crédit.