J'irai dans le même sens que mon collègue Jérôme Chartier.
Monsieur Bartolone, j'ai écouté avec attention ce que vous avez dit hier soir. Il me semble que votre explication ne présente qu'une partie de la réalité. Nous comprenons que certaines collectivités locales sont aujourd'hui plus qu'embêtées. Mais j'ai le sentiment, en vous écoutant, que ce sont les méchantes banques qui sont allées placer de méchants produits.