Et ces responsables seraient passés pour d'excellents gestionnaires. Malheureusement, quand la situation se retourne, cela devient moins facile. C'est pourquoi il faut préférer un CAP : comme cela, on n'est pas embêté. Mais ceux qui ont décidé de ne pas « caper » leurs emprunts en ont pesé les risques et ont pris leurs responsabilités.
Il y a donc deux sujets. Tout d'abord, chacun doit assumer les risques qu'il prend : c'est le principe de la libre administration des collectivités. Ensuite, que les associations représentant les collectivités produisent des rapports, très bien, mais cela ne peut être la responsabilité de l'État.