Le présent décret, je le répète, met le ministre des finances dans une situation intenable. Il faut protéger Mme la ministre au lieu de la soumettre à la pression des lobbies. Elle doit pouvoir leur opposer la position ferme du Parlement qui n'a fixé que deux taux, 1% et 0,25 %, et refuser toute possibilité de dérogation.