Madame la ministre, je vous demande à l'avenir, quand on évoquera ces questions, d'avoir droit à la vérité. Si vous nous le demandez, je suis prêt à m'engager à une clause de confidentialité, ce que nous avons déjà fait parfois.
J'aimerais savoir comment le gouverneur de la Banque de France peut déclarer en commission des finances qu'il n'y a plus de créances douteuses quand on voit toute cette collection de paiements qui ont été effectués ces jours derniers par le rehausseur américain.
Vous nous dites qu'il ne faut pas évoquer ces sujets car ils sont dangereux. C'est vrai, mais quand on sait que les contribuables français ont mis 20 milliards d'euros pour la dotation en capital...