Monsieur le ministre, à ce stade de la discussion, j'éviterai de répéter ce qui a déjà été dit et que seul M. Mancel semble ne pas avoir entendu.
Mon impression est double.
D'un côté, j'ai le sentiment que, grâce aux efforts du rapporteur général, pour une fois on évoque assez sérieusement un certain nombre de questions qui d'habitude sont inabordables. Je parle notamment de la dette. Il m'a semblé en effet qu'une sorte de dialogue commençait à s'instaurer, même s'il a été quelque peu rompu par l'intervention de M. Mancel.