Dès lors que nous acceptons cela, monsieur le président du groupe UMP – et ce disant, nous ne défendons pas l'Assemblée nationale –, vous vous faites l'instrument du Gouvernement, qui souhaite pouvoir avoir un temps programmé dans le cadre d'un débat d'urgence. Cela signifie clairement, mes chers collègues, que lorsque nous nous trouverons au sein de cet hémicycle, dans cette situation, si le Gouvernement décide que c'est le Sénat qui aura, in fine, le dernier mot, il commencera par faire commencer ici l'examen du texte, puis l'enverra au Sénat.