S'agissant du fond, un congé maladie ou un congé maternité constitue d'abord un droit à ne pas travailler afin de se remettre de sa maladie ou de commencer à élever son enfant.
Enfin, une mesure comme celle-ci supposerait que l'on puisse être certain, ce qui est loin d'être le cas, que le volontariat est bien réel, car il n'y aurait rien de pire qu'un télétravail subi.
Le Gouvernement, je le redis, n'est donc pas favorable à cet amendement. Pour autant, tous les débats sont légitimes dans cet hémicycle et je propose, pour mettre fin à cette polémique (Exclamations sur les bancs du groupe SRC), que soit menée une étude sur le télétravail, à travers une comparaison européenne des conditions dans lesquelles il est recouru au télétravail et des mesures prises pour protéger les salariés en congé de maladie ou de maternité contre d'éventuels abus. (Applaudissements sur quelques bancs du groupe UMP.)
Le 29/04/2011 à 11:54, Keratos a dit :
Pas contre sur le fait que certains malades chroniques et handicapées auraient besoin du télétravail pour concilier maladie/handicap avec le travail on dit ne dit pas un mot...C'est implicitement que la réconnaissance que la maladie éloigne du travail et que le télétravail en rapproche malgré les contraintes, c'est en fait un excellent plaidoyer pour le télétravail des personnes souffrant de troubles invalidants de santé, mais bizarrement c'est la solution qui n'est jamais retenue
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