Mais il faut bien avouer qu'il ne reste plus que cela pour innerver le territoire, et les caisses d'épargne et les banques populaires sont fondamentales à ce titre.
Si l'organe central des caisses d'épargne et des banques populaires n'a pas les moyens de rembourser la part de l'État – il n'est pas sûr qu'il y arrive en quelques années –,il y aura appel au marché. Ainsi, les parts de l'État pourraient être mises sur le marché, le capital pourrait être ouvert, cela pourrait être la fin de ce dernier secteur coopératif.