Mais la question la plus importante, à moyen terme en tous cas, me paraît être celle du remboursement, car de lui dépend l'avenir du futur groupe.
À supposer, car cela demeure une hypothèse plausible, que la situation de ce groupe ne soit pas suffisamment améliorée, se pose la question de la participation de l'État. J'ai cru comprendre, à vous écouter et à écouter M. Pérol, que l'État ne serait pas un actionnaire stratégique, un actionnaire de long terme, qu'il viendrait pour un moment donné.