L'amendement CE 114 ne me gêne pas. Lors de tous les débats qui ont porté sur les crédits à la consommation, nous avons été nombreux, sur divers bancs, à soulever le problème du crédit « revolving », qui enfonce un grand nombre de nos concitoyens dans le surendettement. M. Martin Hirsch lui-même partage notre préoccupation.
À défaut d'inscrire dans la loi l'engagement pris par M. Bailly, on pourrait au moins le formaliser dans le cadre du contrat d'entreprise conclu entre La Poste et l'État. L'amendement de nos collègues socialistes pourrait donc être déplacé à l'article 4.